UNE FOIS DE PLUS L’UNEF SE DÉMASQUE

Lundi 23 mai 2012 à 15h00 à la Sorbonne, l’UNEF, soi-disant syndicat de TOUS les étudiants a fait une nouvelle fois preuve de sa duplicité. En ôtant son masque associatif étudiant, elle montre au grand jour toute la laideur de son vrai visage. Par le truchement d’une synchronisation coupable aux échéances électorales nationales actuelles, l’UNEF se découvre comme l’officine étudiante des partis de Gauche, Parti Socialiste en tête !

En envoyant à la liste de diffusion étudiante le mail ci-joint, qu’ont eu le « bonheur » forcé de lire les étudiants de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l’UNEF se rend par là même coupable d’une utilisation abusive. Cette liste est uniquement destinée à l’information des étudiants sur la vie de l’université, utilisation normale et attendue, et en aucun cas à des fins de propagande gauchiste, vectrice de haine à l’égard de millions d’électeurs, révélant un déni de démocratie flagrant !

En effet, dans l’objet même de son e-mail : « L’UNEF appelle les étudiants à battre Nicolas Sarkozy, le 1er mai dans la rue, le 6 mai dans les urnes ».

 

Certains étudiants se sont d’ores et déjà plaints, par retour de mail, ainsi qu’auprès de la Présidence directement, afin d’exprimer leur refus de recevoir de tels mails de propagande gauchiste ! Nous sommes actuellement en attente de la réaction de l’Université, généralement complaisante à l’égard de l’UNEF et de ses amis de l’ultra gauche.

 

En réponse de quoi l’auteur du mail, Vice-présidente étudiante (VPE) au Conseil d’Administration (CA) de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, se sentant insultée d’être perçue comme une gauchiste – en plus elle n’assume pas ! –, prétend ne faire qu’  « informer » les étudiants ! Rien que cela ! Au temps pour moi je retire tout ce que j’ai écrit, il ne s’agit donc  pas d’une utilisation abusive de la liste de diffusion ; ni d’un acte de propagande marxiste ; surtout pas d’un déni de démocratie ; et encore moins d’un appel à bloquer une fois de plus les rues de Paris et de Province pour un motif fallacieux ; mais bien d’un acte de bienveillance, relevant autant du devoir civique de cette demoiselle que de ses fonctions de représentation des étudiants de Paris 1 au sein d’un conseil local de l’université…

 

De qui se moque-t-on ? Une fois de plus, l'UNEF se dévoile à travers ce mail comme l'antichambre et le fer de lance étudiant du Parti Socialiste.

 

Des mails de cette teneur n'ont pas leur place dans une boucle destinée à informer les étudiants sur la vie de l'Université Paris 1. En aucun cas elle ne devrait être utilisée à des fins de propagande partisane sur des thèmes de politique générale.

 

Trouvant cette pratique scandaleuse, l’UDJ invite tous les étudiants qui partagent notre point de vue, en dehors de toute considération politique quant aux élections présidentielles, à en référer à la Présidence de l’Université Panthéon-Sorbonne, ainsi qu’à signer la pétition (les données renseignées resteront strictement confidentielles).

 

L’UNEF TROMPE LES ÉTUDIANTS CHAQUE ANNÉE EN SE FAISANT PASSER POUR APOLITIQUE !

 

L’UNEF A UNE UTILISATION ERRONÉE ET À MAUVAIS ESCIENT DES OUTILS DE COMMUNICATION QUE MET À SA DISPOSITION L’UNIVERSITÉ !

 

L’UNEF ABUSE DE LA CONFIANCE DES INSTITUTIONS ET DE SES ÉLECTEURS !

 

L’UNEF MENT AUX ÉTUDIANTS !

 

Pour plus d’information sur cette affaire ou entrer en contact avec un responsable de l’UDJ, contactez-nous par mail : contact-udj@gmail.com

 

LE MAIL DE L’UNEF :

 

Subject: [étudiants] CP: L’UNEF appelle les étudiants à battre Nicolas Sarkozy, le 1er mai dans la rue, le 6 mai dans les urnes.

 
L’UNEF appelle les étudiants à battre Nicolas Sarkozy, le 1er mai dans la rue, le 6 mai dans les urnes.

Au lendemain du premier tour de l’élection présidentielle, l’UNEF se félicite de la très forte mobilisation de la population (près de 80%), et en particulier des jeunes, à l’occasion du 1er tour du scrutin. Le score historique de l’extrême droite qui a rassemblé plus de 6 millions d’électeurs dont de nombreux jeunes est pourtant signe d’une crise que les responsables politiques se doivent d’entendre. L’UNEF tient le président sortant, sourd aux revendications sociales des étudiants et des salariés, pour principal responsable de cette nouvelle poussée de fièvre électorale. L’UNEF appelle l’ensemble de la jeunesse à résister contre la tentation de repli identitaire du Front. Contre l’austérité qui nous conduit dans l’impasse, d’autres solutions existent. Imposons les, dans la rue comme dans les urnes !

 

Un désaveu clair de la politique ultralibérale de Nicolas Sarkozy.

En plaçant le principal candidat d’opposition en tête des suffrages, les citoyens français ont clairement exprimé un désaveu sans appel de la politique menée, en France et en Europe, depuis le début de la crise.
Budgets de rigueur dans l’enseignement supérieur, absence de réponse à la précarité sociale, augmentation de la TVA, recul de l’âge de la retraite en pleine crise de l’emploi… les choix politiques du président sortant pour la France ont été à l’exact opposé des besoins des étudiants. Coupable de reculs sociaux majeurs dans son pays, Nicolas Sarkozy s’est aussi attiré la défiance des jeunes en participant à la construction d’une politique européenne d’austérité anti sociale, dont les premières victimes sont les jeunes de Grèce, d’Espagne ou du Portugal.

Marine récolte ce que Nicolas a semé.

 

La politique antisociale, brutale pour les plus fragiles et conciliante pour les plus favorisés, que le président sortant a mené pendant cinq ans a crée un climat de tension social explosif dans le pays. Plutôt que d’entendre les protestations légitimes des étudiants et des salariés, Nicolas Sarkozy a alors préféré diviser les français par des polémiques irresponsables (débat sur l’identité nationale, stigmatisation de citoyens selon leur origine…), plutôt que de revenir sur ses choix politiques.

 

La lepénisation des discours comme celle des textes de lois a ainsi offert une occasion inespérée au Front National de revenir sur le devant de la scène, 10 ans après le 21 avril 2002. La campagne de premier tour proposant l’austérité comme seul horizon économique, et la dénonciation des corps intermédiaires comme seule méthode de gouvernement n’a fait que permettre à Marine Le Pen de transformer l’essai.

 

De vraies réponses alternatives pour faire baisser la menace frontiste

 

Le score électoral de Marine Le Pen est une menace pour la démocratie qu’il faut prendre au sérieux. Les jeunes ayant fait le choix du Front national se sont fait abuser par une candidate qui mise sur leur désespoir social pour leur proposer des réponses xénophobes. Mais en l’absence de réponses ambitieuses aux inquiétudes légitimes des jeunes et des salariés, sa progression ne fera que prendre de l’ampleur. Nous ne voulons plus avoir à constater tous les dix ans, les dégâts des politiques libérales sur notre démocratie.

Le prochain gouvernement sera donc attendu au tournant par les étudiants. L’UNEF a déjà attiré l’attention des candidats sur l’urgence à agir, à travers une lettre ouverte datée du jeudi 29 mars pour une génération qui peine à se former et à s’insérer sur le marché de l’emploi. C’est dès la rentrée 2012 qu’il faudra prendre des mesures, et non après un éventuel retour de la croissance. En particulier, l’UNEF revendiquent une mise en sécurité sociale par la création d’une allocation d’autonomie afin que plus aucun jeune ne se sente exclu du système en étant privé d’accès au diplôme.

 

Combattre le FN, fermer la parenthèse Sarkozyste.

 

L’UNEF appelle l’ensemble des jeunes, qu’ils soient salariés, en insertion ou étudiants à se mobiliser massivement pour imposer un autre projet de société. À la jeunesse qui veut enfin voir des politiques menées pour et non malgré elle, a tous les jeunes en insertion qui n’en peuvent plus d’être malmenés sur le marché du travail, à tous les étudiants qui risquent de renoncer aux études faute d’une protection suffisante de l’État, nous disons qu’il n’y a pas de fatalité à ce que notre avenir se résume à l’impasse économique du libéralisme et de l’austérité. Et Marine Le Pen n’est aucunement la réponse.

 

D’autres solutions existent pour se faire entendre. Consciente de sa responsabilité, l’UNEF propose à chacun un autre chemin :

 

Dans la rue le 1er mai pour porter nos revendications aux côtés des salariés et pousser le prochain gouvernement à nous apporter des réponses dès le début de son mandat. C’est sur le front de l’emploi et du pouvoir d’achat que la bataille contre l’extrême droite se jouera.

 

Dans les urnes, le 6 mai pour sanctionner celui qui nous a précarisé, méprisé, divisé.

 

Dans les syndicats ensuite pour contraindre le prochain président de la République à appliquer nos revendications, extrêmement majoritaires chez les jeunes.

 

Jennifer Buckle

 

PS: je ne peux retirer les étudiants de cette liste de diffusion, seule l'univers

La démocratie estudiantine !

En cette belle journée du 28 Mars 2012, opportunité m’est donnée d’assister à une élection étudiante et pas des moindres, celle de l’Université Panthéon Assas-Paris 2. Une université qui se veut l’élite de l'enseignement du droit en France. Il est donc temps de consulter le baromètre démocratique des élections des futurs apôtres des règles étatiques.



J’arrive donc aux aurores afin de ne rien manquer de ce moment républicain. Sur le fond tout semble être conforme aux règles préétablies pour la constitution du conseil des études et de la vie universitaire (CEVU). Bien que le taux de participation demeure en générale extrêmement faible, tous les étudiants régulièrement inscrits à Paris II peuvent voter. Une journée de militantisme liquoreux se propose donc aux élèves. Pourtant cette année une liste étudiante, présentée sous le nom de l’U.D.J, va cristalliser les haines les plus diverses.

Le matin même, le très consensuel « Le Figaro » publie un article à charge envers ce groupement. Le journal revient sur l’apparence physique de M.Edouard Klein en la qualifiant de « À mille lieux de sa photo Facebook ». Vite je prends mon Smartphone, et compare cette photographie à la personne se tenant à 1 mètre de moi…Fichtre ! Strictement le même look. Le reste de l’article propose les peurs des têtes de liste de mouvements opposants naviguant entre le fantasme et la paranoïa sans omettre le mensonge. Le ton m’est donc donné par « Le Figaro » sur la journée du 28 Mars 2012 à Assas.

Dès 8 heures du matin, environ 30 individus « vintage », munis en cette journée de printemps de parapluies, (surement pour faire face à un éventuel dérèglement climatique journalier) s’affichent aux côtés de la liste UDJ.

Plusieurs associations d’extrême gauche avaient appelé depuis des semaines à des violences physiques envers les membres de cette liste dissidente. Une attitude négationniste envers la liberté d’expression et la démocratie sous la bienveillance policière, et de la complaisance journalistique.

En cette matinée je lis paisiblement les professions de foi des différentes composantes de cette élection. Il est à noter que plusieurs d’entre elles comporte un chapitre réservé aux rejets de l’UDJ. Une association – la FEDER – propose même un tract sous forme de jeu des 7 différences pour dénoncer l’UDJ. Il faut dire que la FEDER est un collectif d'associations composé de SOS Racisme, Ni Putes, Ni Soumises et soutenu par l'UEJF, tout un programme. Leurs 2 représentants masculins feront par ailleurs appellent au service d’ordre de l’université tout au long de la journée, courageux (quoi que) mais pas téméraires.

Le milieu de matinée nous propose le premier regain de tensions aux abords de l’Université. Lorsqu’un responsable de l’U.E.J.F (Union des étudiants juifs de France) s’invite dans les locaux d’Assas. Il faut dire que celui-ci n’a pas fait le voyage seul, 3 gros bras l’accompagnent à titre préventif. Alors que cette association appelait le matin même à « rester dans le débat d'idées », il semble que la présence physique pourrait déboucher sur un tout autre mode d’expressions. Ce même individu impose un amalgame diffamatoire aux membres de l’UDJ en les rapprochant des tueries de Toulouse lors d’une intervention pour « Rue89 »… La très impartiale Caroline Boinet, relate les faits en ces mots : « L’ambiance est tendue. Les membres de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), groupés devant l’entrée, jettent des regards inquiets vers ceux de l’UDJ. Jonathan Hayoun, président de l’UEJF, explique : « Ils nous prennent en photo. On est sous pression. » Pour lui, la présence de l’UDJ à ces élections met d’autant plus mal à l’aise qu’elle survient après le drame de Toulouse. « Les juifs se sentent actuellement menacés en France » explique-t-il. Va comprendre Charles !

La fin de cette journée électorale approche, lorsque 2 individus affiliés à l’extrême gauche se gargarisent devant les portes de l’Université. Oscillant entre provocations et mauvais goût, ceux-ci sont interpellés oralement. Quelques secondes plus tard les sirènes retentissent dans la rue, la police chasse le militant « vintage ». Un camion rouge estampillé « Pompiers » passe devant moi, à son bord les 2 nervis d’extrême gauche reconnaissable uniquement à leurs vêtements. Sale temps pour les provocateurs….

Apres de longues minutes de ballets policiers, c’est le moment choisi par des chenapans nervis d’extrême gauche pour faire leur apparition. Dans un fantasme de lutte antifasciste, quelques « militants », largement représentés par des lycéens, expriment leur haine de la jeunesse nationale. Peu courageux ces derniers ont sagement attendu le nettoyage du quartier par la police nationale. Une manière d’agir peu téméraire mais cependant caractéristique de ce piètre mouvement. On peut y reconnaitre les « footeux » du « Paris United Colors », qui pour une fois, n’assimileront pas une de leur sortie avec une humiliation urbaine faute d’adversaires. A cet instant une dizaines de membres de l’U.D.J tentent de faire entendre leur voix devant cette hostilité manifeste. Le préfet de police, soucieux de maintenir l’ordre, ordonne l’évacuation de la rue des partisans blancs de l’UDJ…Les « blousons en cuir» plutôt que les « survêts », choix quelque peu surprenant mais bienveillant à l’égard des lycéens.

Fin de soirée… Le dépouillement se déroule dans le calme. Selon un récent sondage CSA pour BFM TV Marine Le Pen recueillerait 27 % des intentions de vote des 18-30 ans. Un sondage Viavoice-Libération montrait d'ailleurs que 32% des 18-25 ans sont « contestataires ». Ils s'intéressent à la politique mais rejettent le système économique, social et scolaire actuel. Force est de constater que l’Université Paris-Assas est plutôt « docile » :



L’UNEF (assimilé gauche) l’emporte avec 890 voix, le MET (UMP) s’octroie la troisième place avec 486 voix, tandis que la jeunesse nationale obtient 98 suffrages exprimés. Selon l’UNEF : « Le GUD (UDJ) comptabilise tout de même 98 voix au CEVU, ce qui n’est pas suffisant pour obtenir un élu (donc un local) du fait de la forte hausse de participation à ces élections. Il y a deux ans, avec le même score, le GUD aurait obtenu un élu et donc un local dans l’université. »



Vive la République – Webmaster

Algérie 62... la France est à eux !  
 

Extrait du site internet de Lyon Info :

Le 03 Avril 2012

Ils étaient venus « débattre », selon Alexandre Gabriac, conseiller régional, depuis exclu du Front national. Empêchés d’entrer par la police municipale et une dizaine de CRS venus en renfort, une quinzaine de militants du Gud, le mouvement étudiant d’extrême droite, ont tenu meeting devant la mairie du 3ème.

A l’intérieur se déroulait en même temps un colloque sur le thème Pour une histoire franco-algérienne, en mémoire du cinquantième anniversaire de l’indépendance de l’Algérie.

Pour protester contre la présence d’un membre de l’Unef, autre mouvement étudiant classé, lui, à gauche, les manifestants avaient déployé une banderole sur laquelle on pouvait lire : « Unef = Union Nationale des Ennemies de la France ».

Après avoir lu un manifeste et scandé « Unef, collabos » et « bleu, blanc, rouge, la France aux Français », le groupe s’est toutefois rapidement dispersé.

Nostalgiques de l’Algérie française, les étudiants du Gud dénonçaient une révolution algérienne, l’œuvre des « terroristes du FLN » et portée uniquement par l’« élite » du pays. « La France a construit des hôpitaux, des écoles, des routes, les Français et Algériens vivaient bien ensemble », a déclaré leur porte-parole. « Aujourd’hui, il y a 80% de chômage. »

Violence politique ?! (Texte issu de Zentropa)

 

Mise au Point sur l'article de Streetpress.com du 16 Mars 2012

 

NE POUVANT RIEN CONTRE L’UDJ, L’UNEF AGRESSE LE MET !


 

La campagne électorale a débuté ce vendredi 16 Mars 2012, et se clôturera le 28 Mars jour des élections universitaire. L’UNEF utilise bien évidemment ses procédés habituels pour faire campagne contre l’UDJ. Et dénonce sans cesse le caractère selon eux violent de notre association.

 

L’UNEF se plaint de violence, mais l’utilise !

 La semaine dernière, à l’Université de Versailles St-Quentin (UVSQ) des militants du MET ont été chassés et agressés par une dizaine de militants de l’UNEF armés de barres de fer.

 On ne peut pas dire que le MET (ex-UNI) ait une culture de l’autodéfense prononcée. L’UNEF en a donc profité pour recourir à la violence, qu’il dénonce pourtant en se victimisant dans leurs tracts assassiens.

 Etudiant d’Assas, si vous ne souhaitez pas que votre université devienne l’UVSQ ou Nanterre, si vous ne souhaitez pas subir un jour prochain les violences gauchistes, si vous souhaitez étudier et penser librement, ils vous faut soutenir et voter UDJ.

 Le seul véritable rempart aux gauchistes et leur violence sous-jacente.

 

Agression gauchiste à ASSAS :

 Ce vendredi 16 mars vers 11h, un des militants de l’UDJ a été agressé lâchement par derrière alors qu’il discutait tranquillement devant la faculté par un groupe de six gauchistes qui étaient armés de matraques et de barres. Celui-ci, ne reçut qu’un coup dans le dos et réussit à éviter les autres.

 Plusieurs autres membres de l’UDJ sont alors arrivés sur le parvis pour défendre notre camarade et l’université de ces agresseurs. Bien évidemment les lâches gauchistes avaient déjà déguerpis. L’UDJ a donc décidé de distribuer son nouveau magazine comme beaucoup d’étudiants ont pu le constater. Aucun autre incident n’a eu lieu… C’est tellement plus simple à un contre six !

 

Au sujet de Streetpress …

 

Nous tenons à mettre les choses au clair suite un article de Streetpress.com sur ce sujet. Notamment, des indications sur les commentaires d’un de nos militants .

 Le journaliste insiste sur le fait qu’une plainte a été déposée suite à la lâche agression, c’est le cas. La scène ayant eu lieu sous les yeux de l’administration et ayant été filmée par la vidéo de surveillance placée devant la faculté, nous avons été nous confier au commissariat. De plus, le journaliste insiste sur le fait que notre militant « se félicite » que la scène ait été filmée, et qu’il aurait été « outré » .

 Il faisait remarquer simplement le peu de jugeote qu’ont les gauchistes d’agir devant une camera installée par la ville de Paris. C’est loin d’être la première tentative d’intimidation de la part de ces nervis bolcheviques, nous sommes par conséquent loin d’être outrés, juste toujours prêts !

 Les gauchistes ne nous impressionnent pas, nous ne sommes pas le MET. Nous avons une culture de défense. Nous défendrons toujours notre université contre les bolcheviques !

 De plus, corrigeons aussi les indications sur le RED (ex-association nationaliste d’Assas), les derniers représentants élus, l’ont été en 2007, pour 2 ans. Il n’y a pas eu 5 ans sans élus représentant la vraie droite universitaire à Assas, comme voudrait le faire croire cet article.

 

 

LE 28 MARS VOTE POUR LA LISTE UDJ

 

www.uniondefensedelajeunesse.fr

 

 

Lien de l'article concerné :  http://www.streetpress.com/sujet/23875-assas-le-gud-presente-une-liste-aux-elections-etudiantes

                                            

PROFESSION DE FOI :

In GUD we trust !

Communiqué de l'UDJ Lyon sur la dénonciation calomnieuse de M.Hayoun (UEJF).

M. Hayoun, je tenais à vous écrire suite à l'article que vous avez rédigé contre l’UDJ et ses membres.

En effet, vous nous accusez d'avoir proféré des insultes homophobes (comme « pédés ») envers des membres de votre organisation lors du tractage pour les élections étudiantes. Il faut donc éclaircir ce point là.
... Durant la distribution des tracts, tout s'est relativement bien passé. Nous avons cohabité avec les autres syndicats sans altercation. De plus, aucune parole n’a été prononcée à l'égard des différents protagonistes se trouvant aux alentours si ce n'est quelques échanges de points de vue tout à fait cordiaux. C'est pourquoi, dans un souci de vérité, je vous demande de prouver ce que vous avancez mais surtout de prouver leur appartenance à l'UDJ.

Il est bien aisé de lapider un mouvement ennemi lorsque celui-ci est indépendant de toute emprise politique et dépourvu de toute aide de personnes placées presque au soleil dans l'organigramme de notre gouvernement décadent.

Par la suite, dans votre communiqué, vous notez qu'il y a aurait eu des agressions après le tractage et que de ce fait, des personnes auraient porté plainte contre X.
L'intérêt de la présence de cette indication permet au lecteur de faire instinctivement le lien entre l'UDJ et les agresseurs. Or, comme vous l'avez indiqué, nous étions partis ! C'est donc pour cela que nous ne sommes absolument pas les responsables ni les auteurs de ces « agressions physiques » qui auraient eu lieu au sein de la faculté Lyon III ou dans quelque autre lieu que ce soit.

Ces plaintes ont été déposées par des personnes appartenant officieusement à la branche syndicale étudiante de l'UMP à savoir le MET/UNI. Il est à la fois notable et étrange de retrouver mentionné dans votre communiqué l’existence de ces agressions en souhaitant bien évidemment nous faire porter le chapeau alors que cela est sans doute l'œuvre d'un petit groupuscule dit "d'extrême gauche" en quête de sensations. Cependant, il est intolérable que vous montiez un complot contre l'UDJ. Cela serait bien contradictoire avec vos valeurs « droitdelhommistes » entre autres.

Pour ce qui est des termes que vous employez à notre encontre en nous qualifiant « d’officine raciste et antisémite », nous vous répondrons juste que nous sommes uniquement nationalistes. Point. Que répondriez-vous si l’on vous désignait de façon permanente d’ « extrémistes sionistes », ce que nous pourrions amplement faire ?

C'est notamment pour toutes ces raisons que nous avons déposé une plainte pour diffamation. Celle-ci sera maintenue à moins que vous ne décidiez de retirer la votre et de présenter des excuses.

En espérant ne plus avoir à faire à des accusations mensongères de la sorte,

Cordialement.

Steven, Union Défense de la Jeunesse.

La vie estudiantine à la capitale de la Résistance

Lettre ouverte à  Jonathan Hayoun , Président de l’UEJF.

Transmise à M. Hayoun par courriel à l’adresse suivante :  johnhayoun@gmail.com

Lien de l’article faisant reference :   

 http://www.uejf.org/2012/02/14/luejf-porte-plainte-contre-des-membres-du-gud/

 

 

Monsieur Hayoun, suite à votre publication sur votre site en date du mardi 14 février, ayant pour titre : « L’UEJF porte plainte contre des membres du GUD », vous précisez dans celle-ci que le GUD aurait distribué à la rentrée 2011, un tract où l’on pouvait lire : «L’Arabe, son chameau, son analphabétisme, et sa mentalité de soumis famélique».

Nous vous prions, de communiquer publiquement ce soi disant tract.  

Nous rejetons  vos accusations, et précisons qu’aucun de nos tracts ne contient de propos racistes xénophobes ou antisémites.  Nous sommes une association étudiante qui refuse toute forme de discriminations et mettons un point d’honneur à  cela.

De plus dans cette même publication  vous indiquez que  « Le retour du GUD à Lyon et Assas marque un retour des propos et des actes violents de l’extrême-droite dans l’enceinte de l’université ».   Nous vous demandons de prouver ce que vous avancer, car aucune plainte de ce type n’a eu lieu dans l’Université d’Assas, à laquelle j’appartiens.   

Nos relations avec les étudiants étrangers ou d’origines  étrangères ainsi qu’avec  les étudiants de confessions juives, comme de toute autre confession  est au beau fixe.

Par conséquent, je vous informe qu’une plainte en diffamation a était déposé en ce jour.

Car ces accusations peuvent avoir de graves répercutions sur notre association étudiante et surtout sur les membres de celle-ci, que ce soit au niveau personnel  ou sur  notre cursus universitaire.

Pour que les choses soient claires, nous comprenons par ce présent article que vous condamnez l’UDJ (Union défense de la Jeunesse) association loi 1901 déposé légalement.  Dans un tract cosigné avec divers associations d’Assas dont l’UNEF, vous précisez dans celui-ci, que « l’UDJ est la façade légale du GUD »

M. Ayoun,  je vous demande par cette lettre de revenir sur vos propos, en le communiquant publiquement, et en formulant des excuses pour les préjudices commis envers les membres de notre association. Dans le cas contraire, notre plainte sera maintenue.

Veuillez recevoir nos salutations, et espérons que notre adversité syndicale  restera des à présent sur le terrain de la légalité.

 

Baptiste C.

 

 

TVA sociale ... un coup de massue pour les étudiants.

LA TVA SOCIALE... UN COUP DE MASSUE POUR LES ÉTUDIANTS !

La précarité chez les étudiants n’est plus à démontrer. Notamment sur la région parisienne, où rien que le logement engloutit une part importante du budget d’un étudiant.


Le président de la République a pris comme exemple l’Allemagne, qui a déjà mis en place cette réforme, mais il oublie de préciser que, celle-ci, s’ajoute à la baisse des avantages fiscaux, notamment des aides aux logements. N’oublions pas que cette réforme a pour but, une consolidation budgétaire, et que seule elle, ne peut résorber les problèmes financiers d’un pays. Une seconde reforme, qui toucherait l’abaissement des aides aux logements, serait un drame pour une grande partie des étudiants français…


Intéressons-nous maintenant, à la reforme sur la TVA Sociale. Le Président a indiqué que celle-ci ne toucherait pas le pouvoir d’achat des Français, car elle serait complémentaire à une baisse des cotisations sociales des employeurs, et donc a une hausse des salaires. On peut tout de même avoir un doute sur l’augmentation des salaires que cela engendrerait. A savoir si, le patronat fera profiter les salariés de la baisse de ses cotisations. (Cette reforme était un vieux projet du MEDEF …)


Mais cette réforme touche plus particulièrement les personnes en situation financière fragile, retraités, chômeurs, et ETUDIANTS ! Dans ces cas précis, la baisse des cotisations salariales ne les concerne pas. Par conséquent, l’augmentation de la TVA les toucherait directement, et leur pouvoir d’achat (ou plutôt leur pouvoir de survie) serait encore réduit !!
Pour les cas les plus critiques, étudiants avec des parents chômeurs (qui ne peuvent compter sur l’aide parentale pour pouvoir mener à bien leurs études universitaires), ce serait tout simplement un coup de massue !


Le seul moyen efficace et plausible pour relancer l’économie du pays serait de réindustrialiser la France. Des emplois de toutes catégories seraient créés, permettant de résorber le chômage qui coûte une fortune à notre pays, et qui laisse des familles dans des situations inconfortables. Cette réforme passerait notamment par la mise en place d’une politique protectionniste.
Étudiants, je vous invite tous à vous impliquer dans la campagne présidentielle Votez pour les élections présidentielles, car votre avenir professionnel en dépend. Pour changer les choses et vous donnez une possibilité d’avoir un emploi équivalent à votre niveau d’étude, il vous faut soutenir la candidature de Marine Le Pen.

 

Baptiste C.

Lettre ouverte à Arielle Schwab, Présidente de l'UEJF

10 bonnes raisons de rejoindre l'UDJ

Campagne d'affichage  Janvier 2012

Rentrée universitaire 2011 - 2012

     

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